SOMMEIL ET STRESS - Article conséquent
SOMMEIL ET STRESS
AVANT-PROPOS ☝
« Le sommeil est une composante 
majeure, unique et indispensable 
de notre santé et de notre bien-être.
Sommeil nocturne et éveil diurne 
sont étroitement liés. En effet,
un sommeil de mauvaise qualité 
va entraîner des difficultés de 
fonctionnement et d’activité dans 
la journée et un stress diurne mal 
supporté va perturber la qualité du 
sommeil.
Ainsi, nous pouvons décrire un 
véritable cercle vicieux stress – 
anxiété – insomnie.
La vie moderne génère un stress 
quotidien et permanent qui reste,
dans le respect de la physiologie 
humaine, un formidable catalyseur 
pour la « performance individuelle ».
Mais ce stress peut devenir trop 
important, arriver au mauvais 
moment ou être trop prolongé et 
avoir des conséquences négatives.
Parmi celles-ci, l’insomnie est une 
des premières citées.
C’est pourquoi, la prise en compte 
du stress est au cœur d’une bonne 
gestion de son sommeil. Pour 
ces raisons, l’Institut National du 
Sommeil et de la Vigilance et
ThéraSomnia, programme de 
Thérapies Comportementales et 
Cognitives de l’insomnie en ligne, 
ont choisi de s’associer pour 
sensibiliser chacun d’entre nous 
sur la nécessité de prendre en 
compte son stress quotidien afin de préserver son sommeil."
«Préservons notre capital santé, prenons soin de notre sommeil ! » Pr Joël PAQUEREAU,
Ancien Président de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance. 
QU'EST-CE QUE LE STRESS ? 😩
Une réaction 
réflexe physiologique,
psychique et physique de l’organisme 
devant une situation 
qui demande une 
adaptation
Désignant un vague sentiment de malaise et des situations difficiles qui en sont 
à l’origine, le terme « stress » semble un 
concept fourre-tout. Pourtant le stress 
est une réaction biologique réelle à une 
stimulation extérieure.
Lorsqu’il y a stress, trois éléments entrent 
en jeu selon des combinaisons variables.
L’agent stresseur (la source du stress) : un 
stimulus d’ordre physique, mental, social 
ou émotionnel survient auquel l’individu 
doit s’ajuster. Le stimulus peut être mineur 
ou important, positif ou négatif, exceptionnel ou constant, prévu ou inattendu, etc.
La réaction de stress. Lorsque le cerveau 
sonne l’alerte, des réactions physiologiques 
immédiates (augmentation du rythme cardiaque, constriction des vaisseaux sanguins, 
montée d’adrénaline) permettent au corps de 
réagir.
L’attitude face au stress. L’intensité de la 
réaction de stress dépend de la perception 
ressentie par l’individu vis-à-vis du stimulus et du message envoyé par le cerveau aux 
glandes endocrines.
Selon l’endocrinologue Hans Selye, un individu soumis à une agression extérieure 
réagit par un ensemble de réactions 
biologiques destinées à permettre à son 
organisme de s’adapter : le Syndrome 
Général d’Adaptation (SGA) qui se déroule 
en 3 phases :
1. La phase d’alarme : l’individu en réponse 
au stresseur développe une réaction de 
stress qui permet une adaptation rapide 
à la situation et une mobilisation des ressources.
2. La phase de résistance : le sujet tente 
de faire face. Si la situation stressante se 
prolonge les réactions de la phase d’alarme 
deviennent inutiles. Il faut tenir la distance 
en économisant son énergie.
3. La phase d’épuisement : si la situation 
stressante perdure trop et que le sujet ne 
trouve pas de solution, l’organisme s’épuise. 
L’entrée dans cette phase se manifeste souvent après un choc par un état dépressif.
LE STRESS EST UN PHENOMENE NORMAL ET NEUTRE… 👍
Les deux premières phases 
(voir précédemment) correspondent à 
un stress normal. Se sentir 
stressé est un phénomène 
naturel dont le but est de 
nous adapter à une situation. 
Le stress est par nature une 
réponse neutre. La coloration 
émotionnelle, le contexte et le 
tempérament de l’individu détermineront son aspect positif 
ou négatif. Chacun a un seuil 
de tolérance au stress qui lui 
est propre. 
… QUI PEUT DEVENIR PATHOLOGIQUE
C’est la durée, la répétition ou 
l’intensité de la réaction qui 
peut devenir problématique. 
C’est la troisième phase qui 
correspond au stress « le plus 
pathologique » ou « négatif ». 
Il s’agit d’un ensemble de 
réactions d’ordre physique, 
psychique et comportemental nées de l’incapacité de 
l’organisme à faire face à un 
contexte stresseur.
STRESS ET ANXIÉTÉ, QUELLE DIFFÉRENCE ? 💣
L’anxiété est une émotion alors que le stress fait référence à une situation qui nous oblige à nous adapter. 
Quand la cause du stress cesse, la réaction de stress 
disparaît. En revanche, une personne anxieuse continue de ressentir des manifestations d’inquiétude et de 
tension lorsque la situation stressante a cessé. 
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PRINCIPAUX SYMPTÔMES DUS À UN ÉTAT 
DE STRESS CHRONIQUE 😯
* Symptômes physiques
Douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l’appétit, 
de la digestion, sueurs inhabituelles… 
* Symptômes émotionnels
Sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes ou de 
nerfs, angoisse, excitation, tristesse… 
* Symptômes intellectuels 
Difficultés de concentration, erreurs, oublis, difficultés 
à prendre des initiatives… 
* Symptômes comportementaux
Modification des conduites alimentaires, comportements violents et agressifs, isolement social, consommation de produits calmants ou excitants …
LE STRESS AU TRAVAIL 💥
22 % des salariés 
européens disent 
souffrir de stress 
au travail*, 
ce qui en fait l’un des principaux problèmes de santé au travail déclarés. 
Aucun secteur d’activité n’est épargné. 
Quand parler de stress au travail ? 
Lorsqu’un individu ressent un déséquilibre 
entre ce qu’on lui demande de faire dans 
le cadre de son travail et les moyens dont 
il dispose pour y répondre. Les facteurs à 
l’origine de ce stress sont liés à la tâche, au 
contenu et à l’organisation du travail ou aux 
relations interpersonnelles. L’environnement socio-économique de l’entreprise est 
aussi à prendre en compte surtout s’il est 
très concurrentiel. En entreprise, le stress 
devient préoccupant lorsque les plaintes 
de « mal-être » se multiplient et quand la 
cause de ces plaintes est liée au contexte 
professionnel. Le stress n’est alors pas révélateur de difficultés individuelles mais 
d’une problématique plus globale liée aux conditions de travail.
*Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail, «IVe Enquête européenne sur 
les conditions de travail», Office des publications officielles des Communautés européennes, 2007.
STRESS AU TRAVAIL : UN DOUBLE IMPACT 💣
Pour les employés, si le stress se prolonge 
dans le temps ou s’il est très intense, les 
symptômes entraînent des altérations 
de la santé s’aggravant au fil du temps. 
L’état de stress chronique peut se 
traduire par une dépression et/ou un 
syndrome « métabolique » (association 
de symptômes : obésité abdominale, 
résistance à l’insuline, hypertension 
artérielle, perturbations du métabolisme 
des lipides).
Pour l’entreprise, le stress lié au travail peut 
générer des désorganisations : augmentation 
de l’absentéisme, difficultés pour remplacer 
ou recruter du personnel, accidents du travail, 
démotivation générale, baisse de la créativité 
et de la productivité, dégradation du climat 
social.
3 QUESTIONS AU DR J-N. FRANÇOIS, 
MÉDECIN DU TRAVAIL, HAUTE-GARONNE
1) Quelles sont les principales causes de 
stress rencontrées par les salariés de l’entreprise pour laquelle vous travaillez ? 
Il s’agit d’une entreprise internationale 
dans un secteur fortement concurrentiel, un environnement source de stress. 
Aussi, les ingénieurs sont soumis à de 
fortes exigences quantitatives et qualitatives. Ils subissent un stress dû à une 
exigence de faire toujours mieux, toujours 
plus vite, toujours moins cher. Les opérationnels, eux, sont davantage stressés par 
des variations de travail importantes, une 
répartition et une planification aléatoires, 
des injonctions parfois paradoxales et des 
horaires atypiques (travail de nuit et en 
week-end). S’ajoute le manque de sommeil qui agit comme un amplificateur. 
2) Existe-t-il une spécificité du stress au 
travail ?
Oui, les causes sont spécifiques. Elles sont 
liées au contexte économique, aux relations hiérarchiques parfois difficiles, aux 
exigences de productivité toujours plus 
fortes. Par contre, les manifestations du 
stress et ses répercussions sur la santé 
sont les mêmes.
3) Quelles sont les prises en charge les plus 
adaptées ?
L’équipe médicale interne a entamé une 
réflexion sur le stress depuis une dizaine 
d’années. Les outils proposés ont démontré leur pertinence.  
* Des formations de gestion du stress :
pour apprendre à identifier, prendre du 
 recul et cohabiter avec le stress. 
* Des formations pour l'encadrement :
afin de gérer des situations complexes 
 et communiquer sans augmenter inutilement la pression. 
* Des séances de relaxation collectives :
des massages relaxants et deux salles 
 de repos sont à disposition du personnel
ADOPTER UNE BONNE HYGIENE DE SOMMEIL
RÉUNIR LES CONDITIONS 
FAVORABLES POUR PRÉPARER 
UN SOMMEIL DE BONNE QUALITÉ
RECOMMANDATIONS DE L’INSV
* Adopter des horaires de sommeil réguliers :
Se coucher et se lever à des heures régulières 
facilite en effet le sommeil. 
* Se lever tous les jours à la même heure :
week-end compris, a un effet synchroniseur 
du rythme veille sommeil. 
* Le réveil doit être dynamique : pour bien éveiller son corps : lumière forte, exercices 
d’étirement, petit déjeuner complet.
* La pratique d'un exercice physique régulier : dans la journée favorise l’endormissement. 
Eviter l’exercice physique en soirée, en particulier avant d’aller dormir. 
* Se reposer ou faire une courte sieste en début d’après-midi. Il suffit de fermer les 
yeux 5 à 20 minutes en relâchant le corps. 
Le sommeil viendra rapidement si le besoin 
est là. La sieste permet de maintenir la vigilance pour le reste de la journée.
* Eviter les excitants après 16 heures : Café, thé, cola, vitamine C retardent l’endormissement et augmentent les réveils 
nocturnes. 
* Eviter l'alcool et le tabac le soir.
La nicotine est un stimulant qui retarde 
l’endormissement, augmente les réveils 
nocturnes et rend le sommeil plus léger. 
L’alcool a une action sédative mais favorise l’instabilité du sommeil avec des éveils 
nocturnes fréquents. 
CE QUI DOIT ATTIRER VOTRE ATTENTION 
ET VOUS FAIRE CONSULTER UN MÉDECIN 
* Vous avez du mal à vous endormir
* Vous vous réveillez trop tôt
* Vous avez des sensations désagréables dans les jambes qui vous empêchent de dormir
* Vous êtes fatigué le matin
* Vous avez des envies de dormir dans la journée
* Vous luttez pour rester actif
* Votre sommeil est léger et votre entourage s'inquiète du ronflement et des arrêts
 de la respiration au cours du sommeil
STRESS ET TROUBLES DU SOMMEIL 💤
Le sommeil comprend différentes 
phases bien structurées. Chacune 
peut être affectée 
par le stress avec 
un retentissement 
en cercle vicieux : 
le stress affecte le 
sommeil qui, une 
fois altéré, accentuera le stress.
Le stress agit sur différentes fonctions 
physiologiques qui augmentent l’éveil. On 
constate alors un hyperéveil qui induit des 
difficultés d’endormissement associées à 
des difficultés à maintenir son sommeil 
avec un sommeil non réparateur.
A cela s’ajoute souvent une composante 
cognitive et comportementale qui module 
la survenue et l’importance de l’insomnie 
selon des prédispositions individuelles : 
Facteur précipitant : des ruminations et inquiétudes favorisent l’insomnie induite par 
les effets du stress excessif. 
Facteur de continuité de l’insomnie 
(insomnie chronique) avec des ruminations liées à l’inquiétude vis-à-vis de son 
mauvais sommeil et de ses conséquences 
sur les performances du lendemain. 
Ainsi, le stress peut 
causer une insomnie aiguë risquant 
d’évoluer vers une 
insomnie chronique.
Connaître son état de stress et d’anxiété 
peut permettre de réagir avant que la 
déprime, voire la dépression, ne s’installe. 
Mais reconnaître soi-même les facteurs 
de stress et d’anxiété n’est pas simple. 
L’échelle HAD (Hospital Anxiety Depression) 
permet aux médecins d’évaluer le risque 
d’anxiété et de dépression et d’identifier un 
stress, facteur d’anxiété. 
Les premiers signes d’insomnie qui 
se prolongent doivent mener à une 
consultation spécifique auprès du 
médecin traitant qui proposera une 
prise en charge adaptée.
ANXIÉTÉ, DÉPRESSION : 
QUELS EFFETS SUR 
LE SOMMEIL ? 
Les signes d’anxiété : sensation d’être survolté, perception d’un danger extérieur, doutes et incertitudes. La sensation de plaisir 
et l’estime de soi sont préservées. L’anxiété 
est généralement caractérisée par une insomnie d’endormissement. 
La dépression se manifeste par un ralentissement psychomoteur avec un désintérêt 
pour l’extérieur, perte de plaisir, découragement, désespoir, perte de l’estime de soi, 
idées suicidaires dans les cas les plus graves. En cas de dépression, le sommeil est 
troublé par des éveils nocturnes fréquents 
et un réveil précoce. 
Ces désorganisations du sommeil sont 
souvent intriquées, ce qui rend ces deux 
troubles difficiles à distinguer. L’apparition 
d’une insomnie d’endormissement avec 
des délais d’endormissement qui augmentent pour dépasser plus d’une heure constitue un premier signe d’alerte.
DES SIGNES 
QUI DOIVENT ALERTER 💀
* Une consommation excessive d'alcool :
Le soulagement est de très courte durée et la 
répétition de la prise peut conduire à un alcoolisme méconnu. 
* Une prise excessive de café : la caféine s’oppose à l’adénosine, molécule libérée dans le 
cerveau qui facilite l’endormissement. Le café 
augmente les difficultés d’endormissement, 
les ruminations et l’insomnie.
* Le grignotage
* La consommation de cigarettes plus 
fréquente chez les anxieux, risque d’augmenter en cas de stress. 
Il est fondamental de ne pas laisser un 
épisode de stress et d’anxiété évoluer vers 
des complications telles que la dépression, la dépendance à l’alcool, au tabac, 
aux somnifères, anxiolytiques ou autres 
drogues. 
ÊTES VOUS ANXIEUX ? 😒
Si vous voulez accéder au questionnaire ainsi qu'à l'article initial , le lien est ci-dessous :
(merci à eux)
SOMMEIL ET STRESS : 
DES SOLUTIONS
Il convient en premier lieu de rassurer sur 
la normalité du phénomène de stress en 
expliquant les éléments impliqués. Bien 
entendu, la première action va être 
d’essayer d’éliminer ou de modérer la perception de l’agent stresseur, puis d’appliquer 
des thérapies cognitives et comportementales afin de limiter et d’évacuer les 
effets du stress.
Ceci devra intégrer une action spécifique 
sur le sommeil. Enfin, l’approche médicamenteuse peut s’avérer nécessaire et devra s’appuyer en premier lieu sur les actifs 
les moins agressifs et les plus respectueux 
des équilibres physiologiques. 
LES THÉRAPIES COGNITIVES ET COMPORTEMENTALES : UNE APPROCHE NON 
MÉDICAMENTEUSE
l s’agit d’un ensemble de méthodes de psychothérapie dont le but est de changer les 
fausses croyances et attitudes sur le sommeil, l’insomnie, et ses conséquences sur le 
lendemain. 
Le contrôle du stimulus : une série d’instructions est donnée pour réassocier le lit 
et la chambre avec le sommeil et rétablir un 
calendrier veille sommeil fixe.
La restriction de sommeil consiste à limiter le temps au lit au temps de sommeil 
réel. Une légère dette de sommeil est ainsi créée qui induit une consolidation et une 
meilleure efficacité du sommeil.
L’entraînement à la relaxation permet de 
réduire les tensions corporelles et mentales perturbatrices du sommeil. 
D’autres stratégies cognitives sont utilisées pour contrôler l’arrivée de pensées 
négatives et attentes irréalistes et éviter 
l’attention excessive aux conséquences de 
l’insomnie. 
Les principaux messages à retenir sont :
* garder des attentes réalistes
* ne pas accuser l'insomnie de toutes les difficultés diurnes
* ne pas donner trop d'importance au sommeil
* ne pas s'inquiéter outre mesure d'une nuit d'insomnie
* développer une certaine tolérance aux effets de l’insomnie
Exemples d’attentes irréalistes et 
d’idées reçues sur le sommeil : 
* j'ai besoin de 8 heures de sommeil par nuit
* mon insomnie est due à une perturbation biologique
* l'insomnie va avoir de sérieuses conséquences sur ma santé
« L’intention paradoxale » consiste à 
demander au patient de rester éveillé passivement et de ne faire aucun effort pour 
s’endormir. Cette démarche s’accompagne 
toujours d’une éducation à l’hygiène du 
sommeil et de la réalisation d’un agenda 
de sommeil.
RÉAGIR FACE AU STRESS 
ET PROTÉGER SON SOMMEIL
* Identifier son anxiété ;
* Essayer de la maîtriser par soi-même ;
* Essayer de penser différemment ;
* Eviter les raisonnements et peurs en cascade ;
* Eviter l'isolement et s'adapter à sa propre anxiété sans ramener tout à soi ;
* Supprimer le tabac, l'alcool, les excitants ;
* Gérer son sommeil : 
 analyser son sommeil avec un agenda 
 de sommeil, penser à des choses agréables, pratiquer des exercices de relaxation et la respiration calmante.
SOLUTIONS À BASE D’ACTIFS 
D’ORIGINE NATURELLE :
Parmi ceux-ci, nous pouvons citer certains minéraux, des protéines de lait 
et la phytothérapie.
La phytothérapie peut améliorer la 
qualité de l’endormissement. Certaines plantes (valériane, passiflore, 
mélisse, etc.) peuvent être recommandées dans le traitement des insomnies 
primaires associées à des conseils sur 
une bonne hygiène de sommeil et à la 
tenue d’un agenda du sommeil téléchargeable sur le site www.institutsommeil-vigilance.org. 
Certains actifs peuvent présenter des 
dangers : il est donc fondamental de 
se les procurer en pharmacie, gage de 
qualité.
ATTENTION 
Ne pas hésiter à consulter un spécialiste si nécessaire. En effet, les somnifères sont efficaces pour induire le sommeil mais sont porteurs d’effets secondaires tels que : somnolence diurne, perte de mémoire, dépendance, … 
La prise de « somnifères » ou hypnotiques est en général réservée à une 
durée maximale de trois semaines sur prescription médicale.
Pour en 
savoir plus :
www.institut-sommeil-vigilance.org 
www.sfrms.org 
www.prosom.org 
www.reseau-morphee.fr 
www.therasomnia.com
A bientôt pour le prochain blog et d'ici là, portez vous bien - mon site internet :
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